THEDARK KNIGHT RISES. Compositeur : Hans Zimmer. Durée : 51:20 | 15 pistes. Éditeur : Sony Classical. « Tu te bats comme un jeune homme, tu donnes tout à chaque coup, sans t’économiser », ironise Bane pendant qu’il martyrise le Chevalier Noir. On a bien envie de dire la même chose à Hans Zimmer, tant sa musique pour The Dark Knight ► Page récapitulative du Dark Knight Universe de Frank Miller », débuté en 1986 avec The Dark Knight Returns, chroniqué ci-dessous et qui a révolutionné aussi bien la mythologie de Batman que celle des comics. [Histoire] Dix ans après la dernière apparition de Batman, James Gordon, soixante-dix ans, va bientôt prendre sa retraite. Mais Gotham City est loin d’être une ville où l’on se sent en sécurité le Gang des Mutants multiplie les meurtres gratuits. Bruce Wayne, cinquante-cinq ans, devenu misanthrope et encore plus renfermé sur lui-même depuis la mort de Jason Todd ce qui l’a forcé à arrêter ses activités de justicier ne supporte plus de rester passif devant cet étalage d’agressions. L’homme a aussi envie d’assouvir ses pulsions de violence et de retrouver les sensations du passé. Il reporte donc son masque et sa cape pour combattre le Gang des Mutants. Son retour coïncide aussi avec celui d’Harvey Dent, apparemment guéri et dont le visage a été entièrement refait. Le Joker est lui aussi ravi de revoir sa némésis et va donc vouloir s’échapper de l’asile d’Arkham. Une jeune lycéenne, Carrie Kelley, va alors revêtir un costume de Robin pour rejoindre la nouvelle croisade du Chevalier Noir. Ce dernier fascine les médias et la télévision ne parle que ça, sous fond de tensions entre les États-Unis —pour lesquels travaille officiellement Superman depuis qu’un décret interdit officiellement les super-héros d’œuvrer sans l’accord d’un gouvernement— et l’ Enfin, la police traque Batman lors de cette dernière horde sauvage. [Critique] Publiée en 1986, cette œuvre écrite et dessinée par Frank Miller révolutionna d’un coup les comics sur Batman et toute la mythologie de celui-ci. En effet, le ton extrêmement sombre de The Dark Knight Returns plus connu sous le simple titre Dark Knight donne un coup de fouet à un héros quelque peu en perte de vitesse à ce moment là. L’auteur récidivera l’année suivante, avec cette fois les origines enrichies de Batman, dans Année Un. Près de trente ans après sa sortie, The Dark Knight Returns n’a pas pris une ride, aussi bien son scénario que son aspect graphique. Résolument mature et noire, la bande dessinée de Miller incorpore des éléments politiques et un ton radical dans son histoire. De la même manière, son découpage des planches, d’environ seize cases par page, sa narration à travers le point de vue de Wayne, Gordon et, principalement, sous le prisme des médias télévisés, tranchent avec ce qui été produit à l’époque. C’est en insufflant cette base d’un homme égoïste, misanthrope et violent, à sa bande dessinée, que le Batman plus moderne » est arrivé. Le contexte sociétal proposé dans The Dark Knight Returns offre à Bruce Wayne, vieil aigri solitaire, éternel meurtri, une occasion de redevenir ce qui l’a toujours façonné son alter ego chauve-souris. Fatigué de voir la passivité des politiciens et la haine gangrener partout dans sa ville, l’homme réveille l’ancien sur-homme qu’il fut jadis. C’est l’occasion d’analyser l’existentialisme de ses ennemis, à commencer par le Joker. La dualité entre les deux n’est plus à débattre dont le sommet de celle-ci sera atteint deux ans plus tard, en 1988, par le superbe Killing Joke, signé par Alan Moore, qui scénarisera l’année de publication de The Dark Knight Returns son immense chef-d’œuvre Watchmen, offrant à DC Comics une année de renaissance et, surtout, de reconnaissance critique et public. Le Joker, donc, se réveille littéralement dès qu’il apprend la nouvelle du retour de Batman. Sans lui, ce n’est qu’un pauvre patient insipide et inintéressant. La façon dont Miller montre cet éternel schéma est assez jubilatoire. L’image publique du Chevalier Noir est aussi au cœur du récit, les médias s’en donnent à cœur joie, sous forme de débats pour/contre, d’interviews de spécialistes et autres flash-infos. Ce parti pris est lui aussi assez inédit dans sa façon d’être montré. Tout comme le sont désormais les combats de Batman. Il réfléchit en tant qu’homme âgé, et donc démuni et en ayant moins d’avantages que ses adversaires, avant de se confronter à un ennemi. Tous ces éléments, ainsi que la patte visuelle de Miller tendent à proposer un ouvrage hors-norme et résolument novateur. L’éditeur laisse carte blanche à l’artiste pour proposer sa vision. Un dessinateur suggère à Miller un Robin féminin. C’est sans doute l’un des autres atouts de la bande dessinée, du jamais-vu jusqu’ici et un personnage nouveau » générant immédiatement de la sympathie. Les honneurs reviennent à la coloriste Lynn Varley, qui a quasiment co-crée Carrie, du propre avis de l’auteur, ainsi que tous les dialogues des jeunes, elle fut un apport de qualité indéniable sur l’œuvre. Klaus Janson, fidèle encreur des travaux de Miller avec qui il a relancé toute la série Daredevil peu de temps avant magnifie les crayonnés de son associé et Lynn Varley est donc chargée de les coloriser. Elle accentue la noirceaur de l’œuvre avec des tons évidemment sombres, souvent grisâtres et bleuâtres. Mais les écarts chromatiques opérés avec le costume de Robin ou de Superman permettent d’offrir quelques notes de légèreté » et surtout, de saisir un contraste détonnant avec le reste des cases du plus bel effet. Malheureusement, The Dark Knight Returns souffre de quelques défauts la multiplicité de sa narration vient casser un certain rythme et il faut parfois se forcer » à suivre les incessants débats télévisés. Ce ton original est à la fois une force de l’œuvre mais aussi un élément qui pourra rebuter un lecteur novice ou peu enclin à utiliser son cerveau s’il s’attendait à quelque-chose de beaucoup plus simple. Le style graphique de Miller peut lui aussi déplaire les hommes, Wayne et Gordon en premier et même le Joker !, possèdent une musculature imposante, à la limite de la crédibilité. Ses visages et mâchoires carrées parsèment les cases également. Il serait évidemment dommage de s’y arrêter et passer à côté de cette mini-série en quatre chapitres à cause de cela. En plus d’un nihilisme présent en continue, d’une menace nucléaire constante et d’un message politique plutôt radical et peut-être trop primaire avec le recul, The Dark Knight Returns possède, paradoxalement, des enjeux plutôt optimistes. La relation entre Bruce et Carrie fait mouche. La jeune fille incarne l’innocence et la fraîcheur, comme tous les Robin avant elle, mais surtout, l’espoir d’une adolescence prête à s’engager, à ne pas sombrer dans les mêmes desseins que la plupart des autres jeunes protagonistes. De même, après l’ultime combat contre Superman un affrontement d’anthologie !, le sourire de Clark Kent à la compréhension que Bruce continue son combat et l’image de ce dernier quelques mètres sous terre confirment la volonté de changer encore le monde, sous une nouvelle forme cette fois. Frank Miller réalisera une suite en 2001-2002 The Dark Knight Strikes Again, plus controversée et moins acclamée. Un troisième et ultime tome est prévu pour l’automne 2015 The Dark Knight III – The Master Race plus d’infos en fin de critique de TDKSA. Le film Batman v Superman Dawn of Justice s’inspirera de la version de The Dark Knight Returns pour le personnage de Batman. En effet, selon plusieurs sources ainsi que la première bande-annonce, le Dark Knight y apparaît plus âgé que Superman, dans un costume et une armure similaires. Idem pour le Joker, et des rumeurs faisant état d’un Robin au féminin courent… Réponse définitive en mars 2016 ! L’édition d’Urban Comics propose énormément de bonus une préface de Miller, une tonne de croquis, des dessins inédits cf. ci-dessous, la version texte du quatrième chapitre, des photos des figurines, etc. La première édition était enrichie de la version DVD et Blu-Ray de la première partie de l’adaptation éponyme en dessin animé. [À propos] Publiée en France chez Urban Comics le 16 novembre 2012. Titre original The Dark Knight Returns Scénario et dessin Frank Miller Encrage Klaus Johnson Couleur Lynn Varley Lettrage Studio Makma Traduction Nicole Duclos Titres des chapitres Livre Un – Retour The Dark Knight Returns Livre Deux – Triomphe The Dark Knight Triumphant Livre Trois – Traque Hunt The Dark Knight Livre Quatre – Défaite The Dark Knight Falls Première publication originale de mars à juin 1986. Également publié en France en 1987 en deux tomes chez Aedena Batman I et II puis chez Zenda en quatre volumes en 1989. Dix ans après, en 1999 donc, Delcourt publie sous le sobre titre Dark Knight l’intégrale de la série. Encore dix années plus tard, en 2009, Panini Comics republie sous le même nom ce comic, ainsi qu’une version Absolute format géant comprenant la suite, The Dark Knight Strikes Again alors appelé La Rélève. Urban Comics a sorti une édition avec le DVD/Blu-Ray, une sans et une troisième en noir et blanc, agrandie et en limitée exemplaires pour les 75 ans de Batman en 2014. Acheter sur The Dark Knight Returns réédition 2019 Urban Comics pour le DC Black Label The Dark Knight Returns édition 2013 Urban Comics The Dark Knight Returns version 75 ans grande en noir et blanc collector The Dark Knight Returns version avec la première partie du dessin animé en DVD et Blu-Ray Absolute Dark Knight édition Panini Comics, avec la suite de TDKR Batman The Dark Knight Returns édition Panini Comics Batman Dark Knight édition Delcourt The Dark Knight Returns [partie 1] en DVD / en combo Blu-Ray/DVD The Dark Knight Returns [partie 2] en DVD / en combo Blu-Ray/DVD The Dark Knight Strikes Again
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Batman News nous rapporte une nouvelle rumeur au sujet de The Dark Knight Rises , l’acteur Tom Hardy pourrait incarner le Dr Hugo Strange le méchant principal de cette suite… Nous avons d’abord évoqué la participation de Tom Hardy dans le projet il y a un peu plus d’un mois, il y a quelques semaines on nous annonçait que Tom Hardy pourrait jouer le détective Harvey Bullock dans The Dark Knight Rises . Hugo Strange est un personnage de fiction créé par Bob Kane et Bill Finger dans Detective Comics 36 en 1940. C’est un psychanalyste aussi brillant que dément qui considère Batman comme un fantasme et à ce titre, rêve de prendre sa place. Il sait par ailleurs que Batman et Bruce Wayne ne font qu’un. Réalisé par Christopher Nolan The Dark Knight Rises » arrivera en salle e 20 Juillet 2012 avec Christian Bale, Michael Caine, Morgan Freeman, Gary Oldman et Tom Hardy. ThomasRédacteur en chef et chroniqueur anti-protocolaire. Enfant des années 80's / 90’s biberonné à la Pop Culture.
Lasuite du prochain Batman serait déjà en préparation, sous la forme d’une série télé. déjà l’après - Dark knight rises . Le site assure avoir eu
La série Justice League Rebirth JLR s’étale sur six tomes et fait suite au relaunch Rebirth à lire dans DC Universe Rebirth effectué après la fin de la série Justice League de la période New 52 Renaissance en VF. Les critiques sont regroupées en deux articles reprenant chacun trois volumes soit une vingtaine de chapitres au total par critique/lot de comics. Ainsi, pour cette chronique, on retrouve Tome 01 Les Machines du Chaos [JL Rebirth 1 puis JLR 1-5] Tome 02 État de Terreur [JLR 6-11] Tome 03 Intemporel [JLR 14-19] Les chapitres 12-13 sont dans le sympathique one-shot Justice League vs. Suicide Squad. • Tome 01 Les Machines du Chaos [JL Rebirth 1 puis JLR 1-5] G. Couverture inédite pour le réseau GLBD Groupement des Libraires de Bandes Dessinées [Résumé de l’éditeur] À l’aube d’une nouvelle ère, les plus grands héros de la Terre restent unis contre l’adversité. Endeuillés par la perte de l’Homme d’Acier, ils continuent de défendre leur planète de ses pires dangers. Et pour ce faire, la Justice League accueille trois nouveaux membres dans son équipe, incluant un certain… Superman ! Qui est cet être venu d’un monde mort et peut-on seulement lui faire confiance ? [Histoire] En préambule suite à ses nombreux combats et notamment récents affrontements contre Vandal Savage ainsi que ses contacts répétés avec la kryptonite, Superman a rendu l’âme Superman – Requiem. Heureusement le Superman originel, plus expérimenté et aguerri que celui de la continuité Renaissance a trouvé refuge sur… la Terre de de cette continuité à découvrir dans Superman – Lois & Clark. Simon Baz et Jessica Cruz sont deux nouveaux Green Lantern qui remplacent Hal Jordan au sein de la ligue. Le Superman originel rejoint la Justice League de la continuité Renaissance. La ligue était en difficulté face à une menace extra-terrestre et cette arrivée est bienvenue. Plus tard, de nombreux séismes ont lieu partout dans le monde. Ces catastrophes à priori naturelles sont compliquées à gérer pour les justiciers. Pire certains d’entre eux perdent leurs super-pouvoirs ! Des citoyens deviennent étrangement agressifs envers eux et… des monstres extra-terrestres envahissent la Terre. [Critique] Après un premier chapitre introductif très fade et convenu sans surprise, l’équipe se reforme avec le nouveau » Superman — pirouette scénaristique facile et d’une grande paresse intellectuelle, les cinq épisodes de la série ne relèvent pas plus que ça le niveau d’écriture. La ligue affronte une nouvelle menace et, là aussi sans réelle surprise, s’en sort gagnante. Tout s’enchaîne de façon fluide, le rythme est très bon à l’exception de la conclusion abrupte, pas de temps mort, mais rien de non plus trop palpitant en plus d’éléments parfois confus car il manque une certaine alchimie motrice qui passionnerait davantage pour se prendre au jeu. Il y a un côté déjà vu » dans cette aventure aucune innovation, rien d’inédit. Il y avait pourtant le deuil de Superman à exploiter et, surtout, l’intégration de son remplaçant dans la ligue mais cela est juste survolé. Dommage. Niveau dessins, Bryan Hitch est en petite forme sur son chapitre introductif mais heureusement Tony S. Daniel fait certaines merveilles sur les suivants mais pas au mieux non plus par rapport à son talent. Traits fins, cadrages iconiques, découpages rythmés… on apprécie clairement ses planches, vivement colorées par Tomeu Morey et flashy. Le sens de la démesure explose tout le temps entre les catastrophes naturelles, les dimensions et espaces exploitées sous l’eau, au cœur de la Terre, dans le ciel, en zone urbaine, rurale, et ainsi de suite. L’ensemble s’étend souvent sur de superbes doubles-pages. Une sorte de destruction porn » comparable à un film de Michael Bay ou Roland Emmerich donc synonyme de plaisir coupable » pour certains. Jesus Merino prend le relai aux pinceaux le temps un chapitre, lui aussi de bonne facture, dans un style proche de celui de Daniel moins précis néanmoins, concevant une homogénéité correcte. Cette partie graphique est assurément la réussite du livre mais cela n’est, hélas, pas suffisant à ce stade, même si on est peu exigeant. Pas mal de bonus concluent l’ouvrage de jolies couvertures alternatives, des sketchbooks crayonnés en noir et blanc des planches et même les design des personnages et leurs costumes. Les Machines du Chaos forme donc une sorte d’introduction globale à la série à l’intérêt pour l’instant assez limité l’arrivée du nouveau » Superman sans réel travail d’écriture poussé, les débuts prometteurs des deux nouveaux Green Lantern les fans du Green Lantern Corps devraient apprécier, tant ce duo est mis en avant et, peut-être, l’annonce d’un évènement dans lequel Wonder Woman aurait un rôle spécifique à jouer. Très accessible mais manquant cruellement d’originalité, bourrin et basé sur de l’action grandiloquente, ce premier tome peine à convaincre, sauf par par son esthétisme. Espérons du mieux pour la suite. • Tome 02 État de Terreur [JLR 6-11] [Résumé de l’éditeur] Il existe des forces capables de manipuler l’esprit et de nous confronter à nos pires angoisses. Et quand celles-ci s’attaquent à la plus grande équipe de super-héros, c’est la Terre entière qui est en danger, poussant les membres de la Ligue de Justice à s’en prendre les uns aux autres. Seuls des héros entraînés à contrôler leur peur pourront en venir à bout… Jessica Cruz et Simon Baz, les deux novices de l’équipe, parviendront-ils à repousser cette nouvelle menace ? [Histoire] Les missions et combats de la Ligue se poursuivent. En marge, Barry Flash et Jessica se rapprochent, Victor Cyborg et Simon deviennent amis, Clark Superman jongle avec sa vie de couple et ses nouvelles obligations. Mais les justiciers ont un comportement bizarre, entre des peurs irrationnelles et de l’agressivité constante, plus personne ne semble être soi-même. Aquaman et Wonder Woman se dressent carrément contre les humains et leur gouvernement. [Critique] Ce deuxième tome se scinde en deux histoires État de Terreur deux chapitres et Virus quatre épisodes. La première est totalement ratée et expéditive. On ne sait pas pourquoi les justiciers tombent dans ce fameux état de terreur, on ne sait pas non plus comment ils en sortent. L’ensemble est d’une banalité confondante et vraiment moyenne. La seconde montre un virus sic qui prend possession des outils technologiques de Batman entre autres, et de l’anneau de Simon Jessica s’est retirée rapidement de la Ligue. On y suit aussi la famille de Diane Palmer, unique femme qui trouva la mort suite aux évènements du volume précédent étonnant de savoir qu’il n’y a eu qu’une seule victime !. L’explication rationnelle » est peu convaincante mais a le mérite de montrer une scène entre les justiciers et une famille ordinaire, presque le temps d’un chapitre rempli principalement de dialogues entre ces petites gens » et les icônes héroïques. Malheureusement, l’écriture est toujours aussi faiblarde et les scènes d’action ou de démonstration se succèdent sans réel intérêt, à l’instar du premier volume. Aux dessins, on retrouve Neil Edwards en majorité mais aussi Jesus Merino, Matthew Clark et Tom Derenick. L’ensemble est tout à fait correct, sans faire de merveilles non plus faute parfois à un encrage trop prononcé et un manque de détails. On retrouve à nouveau un certain sens de la démesure. Le débat publique autour de la Ligue de Justice est de plus en plus présent et devrait, en toute logique, déboucher sur quelque chose mais à ce stade on ne sait toujours pas. Ce deuxième tome ne fait toujours pas avancer l’histoire générale ni l’intégration de Superman, quasiment absent tout le long mais un peu l’évolution des deux nouveaux Green Lantern on stagne plus ou moins, reste certes des dessins sympathiques mais il manque toujours un élément narratif palpitant pour s’y plonger plus efficacement. Le premier volume, déjà moyen, était quand même mieux grâce à sa partie graphique. À noter que les deux chapitres suivant de la série sont complètement déconnectés et se déroule dans le sympathique titre Justice League vs. Suicide Squad, vendu à raison comme un one-shot. • Tome 03 Intemporel [JLR 14-19] [Résumé de l’éditeur] Une armée d’extraterrestres vient d’attaquer la Terre. Seule la Ligue de Justice, dernier rempart de l’humanité, semble être en mesure de les arrêter, mais ses membres ont été disséminés dans le temps, à des moments clés de leur histoire. Ainsi, Wonder Woman est transportée lors de la naissance des dieux de l’Olympe, tandis que Cyborg est envoyé au XXXIe siècle, et tous ont un âpre combat à livrer, car s’ils échouent, les super-héros pourraient bien n’avoir jamais existé… [Histoire] Après avoir été coincé sous terre quelques temps, la Ligue repart plus soudée que jamais. Mais quand les membres sont séparés dans le temps à divers moments clefs de l’Histoire, chacun doit découvrir comment se sortir de cette situation… Superman est le premier affecté. Sa femme Lois et son fils Jon disparaissent mystérieusement alors qu’ils mettaient de l’essence dans leur voiture. Au moment où l’Homme d’Acier perçoit que quelque chose se trame, Batman le supplie de ne pas intervenir et lui faire confiance ! L’étrange jeune femme Molly qui semble observer la race humaine depuis longtemps et se nomme la gardienne » permet de communiquer avec tous les héros entre toutes les époques et leur donne des consignes… [Critique] Clairement le meilleur tome jusqu’à présent. Très dense et confus mais tout de même assez passionnant. Passons sur le premier épisode, très bien écrit mais décevant dans sa conclusion. On apprécie les échanges entre Batman contre » la Justice League et la crise d’identité de Superman qui arrive bien tardivement. Assez référencée Superman – Requiem, Justice League International – Tome 5 La Tour de Babel, Justice League vs. Suicide Squad… mais sans être compliquée, cette introduction intitulée Rassemblement, permet quasiment de repartir sur une base vierge » des récits passés, comprendre qu’on pourrait donc lire ce troisième volet comme si… c’était le premier. Les cinq chapitres suivants donnent leur titre à la bande dessinée. Dans Intemporel, la Justice League doit donc contrer des agents intemporels » dirigés par une entité mystérieuse du nom de Tempus. La force du récit réside dans son éclatement géographique et temporel des membres de la Ligue. En plus de Wonder Woman et Cyborg décrits dans le résumé de l’éditeur, ajoutons Aquaman dans l’Atlantide antique, les deux Green Lantern dans un futur lointain XXVIème siècle avec d’autres Green Lantern, Flash à Central City juste avant son accident et la création de la force véloce. Enfin, Batman et Superman font front commun dans le présent, aidés par trois énigmatiques personnes Alexis, Jane et Vincent croisées lors d’un affrontement face à Rao. Une histoire publiée dans la série Justice League of America – de Bryan Hitch également – publiée dans le magazine Justice League Univers 2 à 9 et poursuivi dans Justice Ligue Hors-Série 2 – Récit Complet Ascension – contenant un arc principal publié à l’époque chez un autre éditeur puis dans le sixième et dernier tome de Justice League of America en librairie. Il est question de pierres magiques, de flux temporels, de fin du monde… Comme dans les tomes précédents c’est assez bordélique voire peu compréhensible par aspect mais on se plaît à découvrir cette situation pour une fois plutôt originale et atypique. Si la résolution manque cruellement de séquences épiques ou tragiques – avec une promesse pour la suite – l’ensemble tient la route grâce à son rythme assez haletant et les dessins de Fernando Pasarin. Les visages sont parfois grossiers mais, encore une fois, le sens de la démesure de certaines scènes et un découpage assez fluide rendent le tout bien agréable, avec une colorisation très riche et variée. • [Conclusion de l’ensemble] Cette série Justice League Rebirth n’est donc pas terrible du tout à l’exception de son troisième tome qui relève un peu le niveau. Si la partie graphique de l’ensemble est plutôt correcte, que l’alchimie au sein de la Ligue fonctionne à partir du second opus et que les intrigues sont bien rythmées, il manque une histoire consistante et passionnante. C’est assez mal écrit, tout s’enchaîne sans qu’on comprenne réellement grand chose, rien est développé de façon intelligible et intelligente. Cette impression de survol narratif et de fausse complexité génèrent une lecture paradoxalement simpliste et pénible. Dans l’immédiat on déconseille donc les deux premiers volumes et on laisse une option sur le troisième si la suite tient ses promesses… Pour rappel, l’entièreté de la série a été publiée en six tomes, rendez-vous prochainement pour la critique commune des tomes quatre, cinq et six ! [À propos] Sortie en France chez Urban Comics respectivement le 9 juin et 10 novembre 2017, puis le 9 mars 2018. Scénario Bryan Hitch Dessin Bryan Hitch et 3, Tony S. Daniel t. 1, Jesus Merino t. 1 et 2, Neils Edwards Fernando Pasarin collectif Encrage collectif Couleur collectif Acheter sur – Justice League Rebirth – Tome 01 Les Machines du Chaos – Justice League Rebirth – Tome 02 État de Terreur – Justice League Rebirth – Tome 03 Intemporel Page33-Cinéma Batman : The Dark Knight Rises Le Cercle Taberna
Description Joignez-vous à Batman et ses alliés, le lieutenant de police Jim Gordon et le procureur Harvey Dent, dans leur guerre pour rendre sûres les rues de Gotham City. À l’occasion de la sortie du film The Dark Knight en juillet 2008, Stern Pinball a collaboré avec Warner Bros. pour proposer aux fans un flipper divertissant et fidèle à l’univers du superhéros imaginé par DC Comics. Plus grand succès cinématographique de 2008, The Dark Knight Le Chevalier noir fait suite à l’histoire de Batman Begins, sorti en 2005. Cette adaptation en trois volets des aventures du superhéros, suivie de The Dark Knight Rises en 2012, a fait un triomphe auprès du grand public et des amateurs de comics. Ce flipper propose au joueur de suivre le scénario du film l’histoire raconte la rencontre de Bruce Wayne/Batman et de son plus grand adversaire qui sème le trouble dans la ville, le Joker. Votre adresse et vos réflexes vous permettront de venir à bout de vos ennemis et d’accumuler un maximum de points. Faites la course contre la Batmobile, stoppez la grue de chantier de l’Épouvantail et poursuivez le Joker dans la nuit ! Le flipper de Stern Pinball Batman – The Dark Knight est composé D’un thème illustré par les célèbres artistes de flippers Kevin O’Connor et Margaret Hudson, qui reprend l’univers graphique et les acteurs du film The Dark Knight ;De plusieurs extraits audio enregistrés par le doubleur Fred Young, déjà présent à l’occasion du flipper Batman de 1991 ;D’indications lumineuses sur la surface du plateau pour marquer votre progression ;D’un mode multi-billes à deux billes et d’un deuxième mode à quatre billes pour augmenter rapidement votre score ;De multiples éléments avec lesquels interagir au cours des parties, comme trois pop bumpers sur la partie supérieure, deux rampes métalliques filaires de chaque côté du plateau et deux slingshots au niveau des batteurs ;D’une rampe qui dévie la trajectoire de la bille soit vers un mécanisme à bascule représentant un pont pour la Batmobile, soit vers un mini-plateau de jeu en hauteur dans la partie supérieure droite du flipper ;D’un cylindre avec un mécanisme de rotation pour révéler tour à tour Gotham City, une figurine du Joker et une peinture murale du visage du Joker en gros plan ;D’une figurine amovible de la grue de l’Épouvantail avec une bille suspendue à un élastique que le joueur peut viser pour marquer des points ;D’un jouet Hot Wheels de la Batmobile avec lequel la bille du joueur pourra se mesurer à l’occasion d’une course sur le pont à bascule.
Etla personne chargée des costumes de The Dark Knight Rises, Lindy Hemming, expliquait dernièrement à Empire que Bane a été "blessé plus tôt dans l''histoire. Il souffre et il a besoin de ce gaz pour survivre. Il ne pourrait pas tolérer la douleur dans le masque". >>> The Dark Knight Rises : Catwoman et Batman sur deux photos promo Bande-annonce Donner mon avis iOS Android The Dark Knight Rises est un jeu d'action sur iPhone. On y incarne Batman qui va devoir traverser six chapitres situés dans Gotham City. Entre des phases d'action et de course, vous devrez faire évoluer votre personnage en récupérant des gadgets, en augmentant vos caractéristiques, etc. Sortie 25 juil. 2012 Caractéristiques détaillées Caractéristiques du jeu Editeurs / Développeurs Gameloft Sortie France 25 juil. 2012 Supports Google Play App Store Langue de la version disponible en France Textes en français Voix en anglais Haut News jeu The Batman TOP 10 des meilleurs jeux du chevalier noir 05 mars, 1050 Test The Dark Knight Rises 26 juil. 2012, 1756 Test The Dark Knight Rises 26 juil. 2012, 1625 News archive Images de The Dark Knight Rises 18 juil. 2012, 1458 17/20iOS nfsbestplayer17 Etant très très fan de l'univers de Batman, ce jeu est une totale réussite. D'abord parce qu'il est inspiré de Batman Ar... Lire la suite 15/20iOS Pseudo supprimé Descriptif Le jeu que nous allons tester est The Dark Knight Rises sur plate-forme iOS iPhone, iPad, un titre d’acti... Lire la suite Donner mon avis sur iOS
Interrogésur la fin de The Dark Knight Rises par Cinemablend, en 2016, Joseph Gordon-Levitt a été plus qu’élogieux envers Christopher Nolan. A l'occasion de la rediffusion du blockbuster
Pour fêter l’arrivée sur DVD en décembre du troisième épisode de la Trilogie Batman, ” The Dark Knight Rises”, Nissan s’est associé avec Warner Bros et à développé dans le cadre d’un concours associé à la mise en vente du DVD, un Juke appelé Juke Nismo “The Dark Knight Rises ™” qui est à gagner dans le cadre d’un jeu concours qui dure jusqu’au 28 février 2013. Le Juke de Batman est développé sur la base d’un Juke Nismo c’est à dire la nouvelle version sportive du Juke motorisée par le moteur L4 DIG-T fort de 200 ch, 250 Nm le moteur de la Clio RS pour une Vmax de 215 km/h et un 0 à 100 km/h plié en secondes. Le Juke The Dark Knight Rises ™ est caractérisé par une livrée noir mat, un liseret rouge qui fait le tour du bas de la carrosserie et des pièces du kit aérodynamique, une antenne en forme d’aileron de requin, des jantes alu Glossy Black avec liseret rouge en 18 pouces et deux logos Batman en aluminium. Au chapitre des détails qui tuent, on notera que les lumières situées sous les rétroviseurs extérieurs qui sont destinées à éclairer le sol projettent le fameux logo sur le bitume ! L’habitacle est à dominante noir avec un petit peu de rouge tant pour le mobilier du SUV que pour le tissu des sièges. Ces derniers sont brodés à l’avant et à l’arrière avec du fil phosphorescent du logo du protecteur de Gotham City. Pour le fun, une lumière intérieure située vers le rétroviseur projette elle aussi la fameuse forme sur l’arrière du rétro comme un signe de ralliement. Surtapis et seuils de portes sont eux aussi aux couleurs de l’homme chauve souris ! Le constructeur japonais profite de l’occasion pour nous annoncer que les commandes du Juke Nismo seront ouvertes dans les premiers jours de janvier 2013 et les livraisons débuteront dans le courant du mois de mars de l’an prochain, probablement au moment du salon de Genève. Une chose est sure, il faut souhaiter que les succès cinématographiques 2013 ne s’appellent pas Casimir ou Teletubbies parce que là, on risque d’avoir des surprises… Via Nissan.
Ep6HT9.
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